Dire la vérité sur le Xinjiang : l'écrivain français Maxime Vivas récompensé par le Prix Orchidée

2025-07-12 00:00:00|French.china.org.cn

Maxime Vivas (2e à droite) reçoit le Prix de la réalisation exceptionnelle lors de la cérémonie de remise des 2es Prix Orchidée qui s'est tenue le 10 juillet 2025 à Beijing. (Photo via China International Communications Group)

« Dans le monde d'aujourd'hui, où les destins de toutes les nations sont de plus en plus interconnectés, les pays occidentaux ont besoin de mieux comprendre la Chine. Nous devons renforcer le dialogue dans tous les domaines pour aider davantage d'Occidentaux à mieux comprendre le concept d'une communauté avec un avenir partagé pour l'humanité et à promouvoir les valeurs communes de l'humanité » », a déclaré le 10 juillet l'écrivain français Maxime Vivas lors de la cérémonie de remise des 2es Prix Orchidée qui s'est tenue à Beijing.

En 2018, l’écrivain a effectué une visite sur le terrain de dix jours au Corps de production et de construction du Xinjiang, une expérience qui l’a conduit à la publication de son livre Ouïghours, pour en finir avec les fake news, qui a suscité un grand intérêt en Occident. Le livre a déclenché de vastes discussions dans les médias occidentaux et parmi le public, déclenchant ce que certains ont appelé une « vague de vérité sur le Xinjiang ».

Au cours de sa visite, Maxime Vivas a exploré les quartiers locaux et a eu des conversations étendues avec des personnes issues de divers horizons ethniques. « J'ai vu des jeunes vêtus d’habits à la mode ou de vêtements traditionnels. Certains faisaient du shopping, d'autres dégustaient du café dans des cafés. J'ai eu des discussions à bâtons rompus avec les habitants, et certains enfants ont même couru vers moi pour prendre des selfies. Ce dont j'ai été témoin, c’était une vie quotidienne paisible et agréable, complètement différente de ce qui est décrit dans les médias occidentaux », a raconté l’écrivain.

Il a également confié avoir été particulièrement impressionné par les efforts du Corps de production et de construction du Xinjiang pour améliorer les moyens de subsistance de habitants locaux. « J'ai rencontré une femme entrepreneur ouïghoure qui faisait des travaux agricoles chez elle. Avec le soutien du gouvernement, elle a fondé sa propre entreprise textile. Aujourd’hui, grâce à son travail acharné, son entreprise a progressivement grandi, les revenus de sa famille ont augmenté de manière significative, et son enfant a pu aller étudier à l'étranger. Et elle a également créé des emplois pour d'autres villageois. Ces rencontres réelles m'ont aidé à vraiment apprécier le rôle du Corps dans son aide aux gens de toutes origines ethniques à augmenter leurs revenus », a-t-il déclaré.

Maxime Vivas a aussi visité des logements nouvellement construits pour les villageois. « Ces maisons, construites avec le soutien du Corps, étaient situées près des habitations d'origine des résidents et étaient équipées de l'eau courante, du gaz naturel, de l’Internet à haut débit et d’appareils ménagers modernes. J'ai pu constater à quel point les villageois étaient heureux d’avoir emménagé ici. Le Corps a investi des ressources substantielles pour améliorer les conditions de vie des gens et a considérablement renforcé le bien-être des personnes de tous les groupes ethniques », a-t-il souligné.

« Autrefois, le Xinjiang était relativement sous-développé, mais le gouvernement chinois a mis en œuvre des politiques de soutien ciblées, telles qu'encourager l'entrepreneuriat ouïghour et aider les étudiants à accéder à l’enseignement supérieur. La stabilité sociale de longue date de la région est étroitement liée à ces politiques efficaces. Les mensonges de l’Occident sur le Xinjiang ne sauraient résister aux faits. J'espère que plus d'Occidentaux viendront voir ce bel endroit par eux-mêmes », a conclu Maxime Vivas.

Organisée par le China International Communications Group et le Secrétariat des Prix Orchidée, la cérémonie de remise des 2es Prix Orchidée a rassemblé plus de 300 participants, notamment des représentants des ministères centraux, d’organisations internationales, d’ambassades étrangères en Chine, de groupes de réflexion et des médias.